SANS DIPLÔME: Travailler à Dubai ou Qatar en 2024

Dubaï et le Qatar attirent de plus en plus de monde, pour y vivre et y travailler. Les offres d’emplois à Dubaï en 2024 pour les francophones, ou à Doha sont nombreuses, même sans diplôme.

Travailler sans diplôme

La région se développe à grande vitesse et elle a besoin de main d’œuvre pour cela, dans tous les secteurs d’activité. Parmi les métiers les plus demandés on trouve par exemple ceux de l’hôtellerie, de la restauration, du tourisme ou du pétrole.

Travailler au Qatar sans diplôme

Il est tout à fait possible de se faire embaucher sans avoir un diplôme à présenter. C’est même plus facile pour les non-qualifiés. Par contre, il est recommandé de savoir parler l’arabe ou l’anglais. La maîtrise de ces 2 langues est un vrai plus. Beaucoup d’investisseurs étrangers les demandent.

Travailler à Dubaï sans diplôme

Les possibilités de travailler dans l’émirat sont les mêmes qu’au Qatar. Si vous n’avez pas fait de grandes études, vous ne pourrez certes pas postuler pour un poste d’ingénieur, mais les possibilités d’être embauché restent nombreuses, par exemple dans un centre d’appel français à Dubaï.

Parler arabe sera pour vous un avantage, même si cela n’est pas une obligation. En revanche, travailler à Dubaï sans parler anglais, ou du moins sans en avoir des notions, reste compliqué, sauf si vous exercez comme ouvrier dans le secteur du bâtiment.

Rappelons aussi qu’aux Emirats arabes unis, il est nécessaire d’avoir un visa de résidence pour pouvoir travailler. Un visa de 10 ans existe, difficile à avoir quand même : le golden visa. L’achat d’un bien immobilier permet également de se voir délivrer un visa plus long.





Le marché du travail

Le chômage n’existe pas dans ce coin du monde. Las-bas, c’est le plein emploi, avec un marché de m’embauche en tension, et ceux qui veulent y travailler y trouveront du travail. Toute la population active a un emploi, même les non-diplômés. Les secteurs qui embauchent énormément : construction, commerce, aide à domicile.

Le marché du travail au Qatar

Voici où en est le marché du travail dans ce pays en pleine croissance.

D’abord, il faut savoir que faire appel à des expatriés est une habitude au Qatar, qu’il s’agisse de développer ses infrastructures, comme pour la Coupe du monde de football, ou bien d’extraire du pétrole et du gaz de son sol. Chaque année, la population de ce petit état augmente ainsi de 8 % pour répondre à la multiplication des grands projets. Près de 9 habitants sur 10 ne sont pas originaires du Qatar.

Sachez que le pays fait de plus en plus de place à ceux qui désirent se lancer comme entrepreneurs, surtout les jeunes. Un étranger peut donc facilement y monter sa boîte, même si les formalités peuvent parfois se révéler contraignantes. Les français qui veulent entreprendre sont particulièrement intéressés par le taux d’imposition sur les bénéfices qui ne s’élève qu’à 10 % (contre près de 30 % en France). En plus, il n’y a pas de TVA, pas de charges sociales sur les salaires et pas d’impôt foncier ni d’impôt sur le revenu.

Il y a beaucoup d’entreprises françaises au Qatar. Actuellement, elles sont 200. Il y a 100 000 francophones qui y habitent (5 000 français).

Le marché du travail à Dubaï

L’Émirat reste une manne pour tous les expatriés, qui reste une des destinations professionnelles privilégiées par les étrangers, grâce à son dynamisme et sa croissance, mais aussi pour son ouverture sur le monde. Beaucoup de sièges sociaux d’entreprises internationales s’y trouvent.

Si vous n’avez pas de diplômes, il vaut mieux parler anglais ou avoir des rudiments d’arabe (la parler n’est pas une obligation). Sachez qu’il est simple de se faire embaucher, mais que le personnel tourne beaucoup, les contrats pouvant être stoppés aussi facilement. La compétition est donc de mise, même si la durée légale du travail est de 48 heures par semaine !

Si vous avez prévu de chercher du travail à Dubaï, soyez malin, et n’envoyez pas vos CV pendant le mois du Ramadan, ou l’embauche n’est pas la priorité du moment. Même chose en ce qui concerne les vacances scolaires, là où les cadres décideurs sont généralement absents.

Enfin, il faut savoir que l’émirat privilégie les nationaux dans certains secteurs. Il sera en conséquence plus difficile de s’y faire embaucher. Ces secteurs sont : la banque et l’assurance, les agences de voyages ainsi que les agences immobilières.





Les salaires

Les salaires que je vais vous énoncer ici peuvent vous paraitre élevés, mais sachez que vous avez de grandes chances de travailler 6 jours sur 7, ce qui remet tout en perspective quand même.

Les salaires au Qatar pour les français

Le salaire moyen y progresse chaque année. Ainsi, le salaire moyen mensuel par habitant est de 6 000 €. Cette somme élevée s’explique par un chômage de presque 0 %. Un cadre sera proche des 10 000 € par mois. En tant que travailleur non qualifié, comptez plutôt être embauché à 1 200 € par mois si vous postulez pour des « petits boulots ».

Ce sont les postes de domestiques qui sont les moins bien payés. Comptez 750 € par mois si vous travaillez comme femme de ménage ou comme nounou chez un particulier. Quant à l’égalité homme/femme, il reste du travail à faire (tout comme en France), avec un salaire supérieur de 13 % pour les hommes.

Je vous rappelle que le Qatar est un pays riche et qu’il se situe dans le top 10 mondial du PIB par habitant. En plus d’un bon salaire, les habitants ne payent pas les soins. Même les résidents expatriés ont droit à cette gratuité dans un service santé de très bonne qualité. Même chose pour les transports et l’hébergement.

Les salaires à Dubaï pour les français

Les expatriés gagnent en moyenne 2 600 € nets par mois. À cette somme s’ajoutent de nombreux avantages « en nature » comme la prise en charge par l’employeur de l’hébergement, du transport ou de l’école des enfants, 1 billet d’avion par an et par personne pour rentrer en France pendant les vacances.

Une personne diplômée, un ingénieur par exemple, peut espérer gagner beaucoup plus : 6 000 € mensuel. Pour une infirmière, comptez plutôt 3 500 € par mois. Quant aux heures supplémentaires, elles sont fréquentes et très bien payées.

Le salaire minimum au Qatar 

Contrairement à ce qu’on pourrait penser, le salaire minimum n’est pas très élevé, 230 € par mois. Par contre, rares sont les personnes à toucher cette somme. Ce sont surtout les employés de maison originaires de pays pauvres et des ouvriers dans le bâtiment, provenant des mêmes pays, qui touchent un salaire de 1 € par heure travaillée.

Ces salariés sont toutefois, en plus de leur rémunération, nourris et logés.

Le salaire minimum à Dubaï

Si Dubaï est à la mode au Moyen-Orient, c’est aussi et davantage pour sa modernité. La ville phare des Émirats Arabes Unis attirent chaque jour toujours plus d’expatriés qui veulent y travailler et y vivre. Dans le cas où l’aventure vous tente, n’oubliez qu’elle a un coût, d’où la nécessité de négocier un salaire confortable.

Sachez que la loi locale n’impose aucun salaire minimum. C’est une notion qui n’existe pas. Retenez plutôt le salaire moyen, qui est, comme nous le disions un peu plus haut dans cet article, légèrement supérieur à 2 500 € mensuel. À cette somme peuvent s’ajouter des avantages, que vous pouvez négocier, liés au logement, au transport ou à la prise en charge des frais de santé.





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Les métiers qui recrutent

Si le travail ne vous fait pas peur, vous aurez l’embarras du choix. Ce ne sont pas les annonces qui manquent. Pour mettre toutes les chances de votre côté, vous pouvez vous diriger vers les secteurs ci-dessous.

Les métiers qui recrutent au Qatar

Le pétrole : il reste un vivier d’embauches pour les spécialistes de l’or noir, comme les ingénieurs en pétrochimie ou en sécurité. Mais le secteur pétrolier cherche aussi beaucoup de main d’œuvre pas forcément qualifiée. Ce sont des métiers difficiles, mais qui payent bien.

Les nouvelles technologies : le Qatar vit avec son époque et est très actif dans tout le Moyen-Orient quand il s’agit d’innover. Ainsi, les informaticiens sont très recherchés. Si vous avez une formation en graphisme par exemple, les opportunités sont nombreuses.

La restauration et l’hôtellerie : là encore, l’offre est en pleine croissance. Dans le cas où vous avez un peu d’expérience, comme cuisinier, serveur, valet ou réceptionniste, il y a toute l’année de multiples postes à pourvoir et surtout pour les grands évènements qui attirent des touristes du monde entier, comme la coupe du monde de football.

La vente : si les possibilités ne sont pas encore au niveau de celles de Dubaï dans la vente, elles restent importantes. C’est un secteur où les salaires sont assez fluctuants, mais les boutiques de luxe sont réputées pour prendre soin de leurs employés. Beaucoup d’entre elles préfèrent par exemple embaucher des européens. Avoir de l’expérience dans la vente est recommandée.

Les autres métiers qui recrutent : ils sont variés et on ne peut pas tous les citer. Vous augmenterez vos chances de vous faire embaucher si vous postulez comme infirmière ou dans l’enseignement, qui sont 2 autres secteurs en tension dans le pays.

Lorsque vous recherchez un emploi sur place, voici 2 agences d’intérim dans lesquelles vous pouvez vous rendre pour commencer :

  • Al Noof Recruitment : 974 44 42 58 69
  • Overseas Manpower Recruitment : 974 33 28 64 17

Les métiers qui recrutent à Dubaï

Le temps où seuls les métiers du pétrole recrutaient est loin. Comme au Qatar se développent des secteurs à forte croissance économique comme les nouvelles technologies, l’hôtellerie ou les commerces de luxe. Il y a près de 25 000 français qui œuvrent dans cette capitale économique du Moyen-Orient.

Voici les secteurs qui recrutent des francophones :

L’hôtellerie/restauration : énormément de postes proposés. C’est une bonne opportunité de se familiariser avec le monde des palaces. Si vous avez des notions de cuisine, sachez que la gastronomie française y est fortement appréciée. Sachez qu’un cuisinier débutant démarre à 2 500 € par mois.

Le numérique : les postes proposés payent bien, jusqu’à 6 000 €. Beaucoup d’entreprises internationales sont installées sur place.

La santé : les hôpitaux sont parmi les plus modernes du monde. Les besoins en personnel sont en augmentation et proviennent essentiellement du développement de l’expatriation. Un infirmier commencera à 3 000 € tandis qu’un médecin pourra prétendre à 15 000 € par mois.

La construction : c’est là où on trouvera le plus d’emplois qui ne nécessitent pas de qualifications particulières

L’aérien : beaucoup de monde transite par son aéroport, d’où un besoin important pour aiguiller ces millions de visiteurs. Des postes sont à pourvoir dans les aéroports, principalement comme agent d’escale ou comme hôtesse de l’air. Quant aux salaires du secteur, ils débutent à 3 000 €.

L’éducation : c’est un secteur ou la demande est croissante. Vous avez la possibilité de donner des cours de français au lycée, mais aussi, et surtout, à domicile.

Trouver du travail

Est-il facile de trouver un travail au Qatar sans diplôme ?

Oui et non. Oui car il y a beaucoup d’offres et non, car il y a des contraintes administratives fortes. Sachez qu’il faut un visa de travail. Pour l’avoir, il faut déjà avoir trouvé un contrat. La personne qui vous emploie sera votre tuteur, sauf si vous en avez un autre sur place. C’est elle qui s’occupera des démarches auprès de l’administration.

Les formalités obligatoires restent ainsi l’écueil principal. Cet obstacle est finalement plus important que le diplôme, les qataris privilégiant l’expérience et le savoir-faire aux grandes études. C’est clairement dans le BTP que les opportunités sont les plus grandes pour les non-diplômés.

Est-il facile de trouver un travail à Dubaï sans diplôme ?

Dubaï est pour le moment plus ouvert sur le monde que le Qatar. Sans aller jusqu’à dire que les possibilités d’embauches sont infinies, on y trouve facilement en emploi, même sans avoir fait de longues études. Après, bien sur, tout dépend du poste recherché.

Pour vous faire une première idée, proche de la réalité, consultez les annonces accessibles à tous sur les sites de recrutements utilisés par la majorité des grosses entreprises sur place. 2 sites web permettent de trouver un emploi partout au Moyen-Orient et sont fréquemment mis à jour. Nous vous recommandons de les consulter régulièrement :

https://www.jobsindubai.com/

https://www.bayt.com/fr/

Se faire recruter

C’est la porte ouverte vers une nouvelle vie. Pour la pousser, vous pouvez déjà essayer de France, en passant par la section « international » de Pôle Emploi, qui peut vous accompagner dans votre projet et dans votre recherche, ou par les réseaux sociaux. Sur place, il faudra contacter les agences de recrutement et les entreprises installées, pourvoyeuses de la majorité des annonces.

Les agences de recrutement au Qatar

Le pays, en rapport avec sa petite taille, compte beaucoup de cabinets de recrutement. C’est la solution n°1 pour vous permettre de trouver du travail rapidement. La méthode est efficace.

Voici les principaux. Même si certains sont spécialisés dans des secteurs spécifiques, nous vous conseillons de tous les démarcher afin de mettre toutes les chances de votre côté. Voici notre top 5 :

  1. MSI Qatar.
  2. Airswift.
  3. Alliance International.
  4. People Dynamics.
  5. Spotlight Recrutement.

Les agences de recrutement à Dubaï

Là-encore, les entreprises de recrutement sont légion et vous aurez l’embarras du choix. Voici notre sélection :

  • Adecco : Marina Plaza.
  • EA Ltd : Nassima Tower, Sheikh Zayed Road.
  • Elite Talent Solutions : Grosvenor Business Tower, Tecom.
  • Mena Recruit : Level 41, Emirates Towers Sheikh Zayed Road.
  • Michael Page : Office No.202, Al Fattan Currency House, Tower.
  • Randstad MENA : G08 Building 1, Internet City.
  • SwissGulf Partners : Level 14, Boulevard, Plaza Tower 1, Sheikh Mohammed, Bin Rashid Boulevard.
  • Youbook recruitment : Knowledge Village.

Les entreprises françaises au Qatar qui recrutent

Le saviez-vous ? Il y a 80 grandes entreprises françaises qui sont installées dans le pays, et plus de 120 filiales de grands groupes. Elles ont des besoins en personnel qu’elles ont du mal à pourvoir, pour assurer les contrats locaux qu’elles ont décrochés. Il y a donc des opportunités à saisir.

Hydrocarbures :  Total (exploration et production pétrolière, transport du gaz naturel, raffinage et pétrochimie). TechnipFMC (installations pétrochimiques). Gasal (gaz industriels). SPIE Oil & Gas Services (onshore pétrolier). Bourbon (offshore pétrolier).

Aéronautique : Dassault Aviation, DCI, MBDA et Airbus. Thales (équipements de sécurité). AAA (services aéronautiques)

Construction : Vinci (métro, tramway). Cegelec Qatar (installation électrique des tunnels). Saint-Gobain (routes). Egis. JCDecaux (mobilier urbain). Alstom (rail).  Keolis, Systra et RATP (métro de Doha). ADPI (conception du pavillon de l’Emir).

Eau, électricité, environnement  : Engie (électricité et eau). Suez et Veolia (stations d’épuration). Saint-Gobain (canalisations). Schneider Electric (distribution d’électricité). Legrand. Nexans (production de câbles). EDF (extension du réseau électrique).

Technologies : Orange. Atos (services informatiques).

Banques et assurances : BNP Paribas et AXA.

Santé : Sanofi et Servier.

Hôtellerie : Accor (hôtel Mercure Grand Hôtel et hôtel Alwadi Hotel Doha MGallery). Sodexo et Newrest.

Grande distribution : Carrefour. Monoprix, FNAC, JouéClub, Jennifer, Camaïeu, Etam, Sephora.

Luxe : Lenôtre, Pierre Hermé, Ladurée, Angelina, Fauchon, Louis Vuitton, Chanel.

Les entreprises françaises à Dubaï qui recrutent

140 entreprises multinationales y ont installé leur siège social régional. Mais l’émirat, très cosmopolite, attire lui aussi beaucoup d’entrepreneurs, et pas seulement les très grosses sociétés. Beaucoup de français ont lancé leur « petite » entreprise sur place en repartant de zéro, notamment pour profiter de la fiscalité avantageuse (rappelons que celle-ci est presque nulle, raison pour laquelle on l’assimile à un paradis fiscal).

Rappelons que 30 000 français vivent sur place et parmi eux, beaucoup de « self made man »qui ont choisi de monter leur société pour un coût limité et dans un temps record, même s’il faut financer son activité avec ses fonds propres. Ici, tout va beaucoup plus vite qu’ailleurs. Beaucoup d’entre eux optent pour le secteur du tourisme, le numérique, l’immobilier ou pour la finance.

L’idéal est donc de se rapprocher de cette communauté via les soirées d’expatriés. C’est un bon moyen de mettre un pied dans le pays et de se faire très vite un réseau capable de déboucher rapidement sur une offre d’emploi.

Faire ses études sur place

Sans diplôme, vous avez aussi la possibilité de vous former directement sur place. Des possibilités existent pour vous permettre de gagner en compétences et donc, d’acquérir ce précieux sésame qui vous permettra de postuler pour des postes où le diplôme est nécessaire.

Faire ses études au Qatar quand on n’a pas de diplôme

L’enseignement supérieur de l’Émirat, principalement via la Qatar Foundation, le pays voulant à tout prix sortir de sa dépendance au pétrole. Toutes les nouvelles entreprises qui voient le jour chaque année nécessitent un afflux de personnes formées. Vous pourrez ainsi par exemple vous former localement en cybersécurité informatique (partenariat avec l’université de Bretagne Sud) ou à la finance islamique.

Les étudiants étrangers sont particulièrement courtisés. En plus des études gratuites à la Qatar University, la plus prestigieuse, vous recevez un salaire minimum (300 € par mois) et êtes souvent logés dans une villa et nourris. Si vous étudiez déjà dans un autre pays, sachez que les échanges universitaires sont nombreux.

Education City est un campus géant qui regroupe 8 universités : HEC (business school) y a par exemple installé un campus. Tous les établissements supérieurs sont concentrés au même endroit.

Faire ses études à Dubaï quand on n’a pas de diplôme

Dubaï permet de suivre des études en anglais et dispense des diplômes (jusqu’au doctorat) qui sont reconnus dans le monde entier. Vous pouvez choisir d’y effectuer un semestre universitaire ou bien de suivre un Bachelor pendant 3 ans qui vous donnera un équivalent licence. Vous pouvez aussi continuer vos études jusqu’au Master 2.

L’Émirat rencontre également de plus en plus de succès auprès des étudiants qui souhaitent faire une année de césure à l’étranger. Les matières les plus demandées sont la finance, le business, les sciences, l’ingénierie, la communication, les médias et l’informatique.Les spécialisations permettent aussi d’obtenir des compétences largement recherchées sur le marché de l’emploi : systèmes d’information, chimie, métallurgie, environnement…

Attention quand même à votre niveau d’anglais. Celui-ci doit vous permettre de suivre vos cours, qui ne seront dispensés que dans cette langue. Pour avoir une forte chance d’être accepté dans le cursus de votre choix, il vous faudra avoir en poche un des deux tests d’anglais reconnus par les universités : le TOEFL, qui est l’examen mis en place par les États-Unis, et l’IELTS, organisé par les britanniques.

Vous n’avez pas le niveau d’anglais suffisant ? Pas de panique, il vous reste encore une chance. Les universités sur place ont mis en place une remise à niveau d’anglais à cet effet, permettant, en amont, de retrouver le niveau nécessaire avant de démarrer votre formation.

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